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Notre histoire

Démarche pionnière en France, le Club d'Écologie Industrielle de l'Aube a pour mission de sensibiliser et mettre en relation les acteurs économiques du territoires afin d'initier des projets d'écologie industrielle et territoriale !

Le projet du Club d’Écologie Industrielle de l’Aube (CEIA) est né en janvier 2003 d’une initiative collégiale de Philippe ADNOT, président de l'époque du Conseil Général de l’Aube, Dominique BOURG, ancien directeur du CREIDD (Centre de Recherches et d’Études Interdisciplinaires sur le Développement Durable) à l’UTT (Université de technologie de Troyes), de quelques industriels aubois élus à la CCI de Troyes et de l’Aube, et de Bernard CASTAING, directeur d’Aube Développement (Agence de développement économique du département). Il était alors question de mener une réflexion globale sur les problématiques à long terme, concernant le développement économique et l’aménagement du territoire départemental.

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Le CEIA rassemble des décideurs publics et privés du département de l'Aube et au-delà afin de créer un réseau actif d’échanges, d’information et d’incitation à la réalisation de projets innovants d’écologie industrielle.

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Historique du CEIA, de 2003 à aujourd'hui

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Depuis 2003, un certain nombre d'évaluations et d'études ont été réalisées avec le concours d'acteurs majeurs du territoire : collectivités, chambres consulaires, entreprises, agence de développement économique et acteurs de la recherche. De cette dynamique a résulté la volonté de faire du Club un projet pilote, unique en France, porteur de retour d'expérience.

Entités porteuses du Club depuis 2003

Entités porteuses du Club depuis 2003, jusqu'à sa constitution en association

Fonctionnant jusque-là de manière informelle, le Club d'Ecologie Industrielle de l'Aube s'est structuré, le 31 mai 2005, à l'aide d'une convention régissant son fonctionnement. Elle instaurait la mise en place de groupes de travail œuvrant sur différentes thématiques, pilotés par un coordinateur.

Signature de la convention régissant le fonctionnement du Club

Signature de la convention régissant le fonctionnement du CEIA (31/05/2005)

Au-delà des groupes de travail, tous les acteurs de l'écologie industrielle convergent sur un constat : la sensibilisation aux enjeux de la démarche est cruciale pour la réussite des projets. C'est la raison pour laquelle le Club d'Ecologie Industrielle de l'Aube a conçu un moment privilégié et convivial de sensibilisation pour les décideurs locaux (chefs d'entreprises, responsables d'exploitations, élus locaux, etc.) : les rendez-vous des décideurs. Le premier d'entre eux s'est tenu à l'Université de technologie de Troyes, le 29 juin 2007.

Premier rendez-vous des décideurs

1er rendez-vous des décideurs (29/06/2007)

Depuis le 4 février 2008, le CEIA s'est constitué en association loi de 1901, au cours d'une assemblée générale réunissant de nombreux acteurs du territoire (cf. compte-rendu de l'Assemblée Générale n°1). Doté de statuts et d'un règlement intérieur, le Club d'Ecologie Industrielle de l'Aube dispose désormais d'une structure lui permettant de participer à des projet d'écologie industrielle d'envergure, tel que le projet COMETHE.

Première assemblée générale du CEIA

L'association se compose de membres répartis en 4 collèges de représentants : un collège entreprises, un collège collectivités et institutions, un collège représentations professionnelles et un collège établissements d'enseignement et de recherche. Chacun de ces 4 collèges est composé de membres dont la nature est définie comme suit :

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  • Les membres actifs, qui participent régulièrement aux activités et contribuent donc activement à la réalisation des objectifs de l'association. Ils paient une cotisation annuelle lors de leur adhésion et disposent de voix délibérative ;

  • Les membres fondateurs, qui sont notoirement reconnus comme étant à l’origine du Club d’Ecologie Industrielle de l’Aube, en 2003, et de son développement ultérieur, jusqu’à sa composition en association. Ils disposent des mêmes prérogatives que les membres actifs et sont donc soumis à cotisation ;

  • Les membres partenaires sont les membres dont les structures n’ont pas de statut juridique, ou bien dont l’activité ou la représentation dépasse le périmètre départemental défini comme limite territoriale de l’exercice de l’objet de l’association. Ces membres ne pouvant ainsi être considérés comme des membre actifs, ils obtiennent le titre de membre partenaires. Ceux-ci sont parties prenantes des activités de l’association et sont donc, à ce titre, soumis à cotisation, même s’ils ne disposent que de voix consultative. Cependant, à titre exceptionnel, Le Bureau peut décider d’exempter un membre partenaire de cotisation pour l’une ou l’autre des raisons suivantes : ils rendent ou ont rendu des services à l’association, ou bien ils mettent leur notoriété au service de celle-ci.

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L'ensemble des membres de l'association à jour de leur cotisation se répartissent dans les quatre collèges de représentants et constituent l'Assemblée Générale. Celle-ci doit élire, parmi ses membres disposant d'une voix délibérative, un Bureau pour 3 ans. Le Bureau est en charge de l'administration de l'association.

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Le Bureau propose, une fois élu, des orientations et des groupes de travail, soumis à l'approbation de l'Assemblée Générale. Les membres se répartissent dans ces groupes de travail et contribuent ainsi à l'objet de l'association : créer un réseau actif d’échanges, d’information et d’incitation à la réalisation de projets innovants d’écologie industrielle sur le territoire de l’Aube, à travers :

  • La mutualisation de compétences et de ressources, de manière à mener des réflexions collectives sur des problématiques communes ;

  • la recherche, l’expérimentation et le développement de solutions innovantes en matière de développement durable ;

  • l’incitation à la recherche et à la création de synergies d’écologie industrielle entre les acteurs économiques du réseau (utilisation des co-produits et déchets des uns en ressources par d’autres, mutualisation de la gestion des flux de matières, d’eau et d’énergie) ;

  • une large communication, interne et externe, afin d’assurer la promotion de l’association et de faire en sorte que le concept de développement durable soit intégré de façon transversale à la politique d’aménagement du territoire dans une dynamique de développement économique.

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1ère Assemblée Générale du CEIA

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